Un combustible multi-recyclable
Un cycle vertueux
De par sa faculté à se nourrir des matières inutilisées par les centrales nucléaires actuelles, le Stellarium s’intègre aisément dans le cycle du combustible. Après 20 ans en réacteur, le sel combustible est recyclé pour être réutilisé dans les centrales actuelles, ou dans d’autres Stellariums. Après le premier cycle, plus besoin de mines, et 99 % de CO2 rejeté en moins par rapport au charbon et au gaz.
1. Récupération des déchets
Les matières inemployées par les centrales nucléaires actuelles sont fondues dans les sels qui alimentent le Stellarium. Uranium, thorium, plutonium, américium : son alimentation est multi-combustibles.
2. Création et purification des sels
Après retraitement des combustibles usés, les sels sont assemblés selon les besoins du client, transportés sous forme de granules solides, puis fondus dans le réacteur.
3. Régénération, fission, incinération
Le Stellarium régénère autant de combustible qu’il n’en brûle en régénérant et fissionnant dans le combustible liquide in situ. Il peut aussi détruire les actinides mineurs et conserver la qualité du plutonium pour les générations futures.
4. Multi-recyclage
Après 20 ans de bons et loyaux services, le sel est recyclé et purifié. Il peut repartir dans le cycle indéfiniment.
Ultra bas-carbone
D’après l’étude menée par EDF sur le rejet du CO2 dans l’atmosphère par les différentes sources d’énergie, c’est une victoire écrasante pour l’énergie nucléaire. Avec 4 g / KWh, le Stellarium permet de fournir une solution définitive pour les sites de production électrique.